Le coaching a connu un développement exponentiel dans les vingt-cinq dernières années.
« Coach » était un mot du domaine du sport, et par certains aspects, le rôle du coach esteffectivement comparable à celui d’un entraîneur : accompagner le « champion », l’observer, lui donner du feedback, l’encourager et lui fournir des informations susceptibles d’améliorer ses performances.
Gérer son stress, prendre confiance en soi, améliorer la relation de couple?
Au fil de nombreuses années de recherche appliquée dans le domaine du développement de la personnalité, MONCOACH a mis au point des techniques hautement efficaces à l’intention des personnes qui souhaitent évoluer et obtenir des changements positifs et surtout durables.
Ces techniques, MONCOACH les met aujourd'hui à votre service pour que vous obteniez des résultats durables en trois séances seulement.
Une définition du développement personnel?
Avec le rapid coaching de MONCOACH, vous obtenez un changement durable en 3 séances (3 x 1h30) et pour 600 CHF seulement!
Organisé pour la première fois les 25 et 26 mai 2019, l'événement a été un succès en termes de satisfaction des participants.
De nouvelles personnes ont été séduites par la profondeur de cette méthode d'évolution personnelle, des "anciens" ont apprécié de pouvoir partager certains aspects de leur personnalité avec d'autres amateurs d'ennéagramme, connus ou inconnus. Les panels et les conférences autour de l'ennéagramme ont comblé tant les curieux que les experts.
Tant les participants que les organisateurs sont unanimes: l’hôtel Mirabeau est l’endroit idéal pour ce type de manifestation. Les salles sont confortables et bien aménagées et se prêtent à nos besoins. Les repas sont parfaits, l’accueil et le service attentionnés.
Cette première édition était un test. Notre seul regret est de n'avoir pas pu réunir davantage de monde pour en profiter. D'ores et déjà, nous prévoyons de reconduire l’événement en 2020, en faisant notre maximum pour ne pas nous contenter de ce premier succès d’estime, mais au contraire tirer parti de cet essai pour le transformer en succès tout court!
Suivez les invitations du "Forum Romand d'Ennéagramme" sur la page Facebook.
La place du chef est en avant, celle du coach est à côté. Le rôle du chef est de savoir, celui du coach est de questionner.
Si l’on caricature : le chef parle, le coach écoute !
Une question nous est fréquemment posée : un chef peut-il être le coach de ses collaborateurs ? Spontanément, la tendance est de répondre par la négative : il semble a priori que le rapport hiérarchique n’offre pas les conditions nécessaires à une relation de coaching. A la réflexion, et à l'aide d'un peu d'étymologie, la réponse devient plus nuancée.
La mission du chef est de diriger. Il est à la tête d’une équipe (chef vient du latin caput, capitis = tête), c’est un leader (de l’anglais to lead = conduire), il fournit la structure et le cadre de travail (on l’appelle cadre, il fait partie de l'encadrement), c’est un manager (de l’anglais to manage = se débrouiller).
Le chef indique les objectifs à atteindre, organise le travail et contrôle les résultats. Parfois il fixe lui-même les objectifs, parfois il doit imposer ceux qu'il a lui-même reçus de plus haut: c'est une lourde responsabilité. Une anxiété – légitime - devant l'ampleur de la tâche risque de l'inciter à donner des ordres plutôt qu'à déléguer. La pression du temps et des coûts ne permet pas d’accorder aux collaborateurs suffisamment d'écoute, d'attention et de reconnaissance. Or le manque de reconnaissance est un des plus importants facteurs de démotivation.
Dans un monde professionnel toujours plus digitalisé, la plupart des managers sont aujourd’hui désireux que leurs collaborateurs s’impliquent davantage et fassent preuve d'autonomie. Cela implique un profond changement de mentalité et l’apprentissage de nouveaux comportements au niveau relationnel.
La mission du coach est d’accompagner. Comme le cocher de l'attelage, il sait comment tirer le meilleur parti de l'énergie des chevaux et éviter les écueils du chemin. Mais la destination est fixée par le client.
Le coach n’use pas d’autorité, il se tient à disposition de son client. Il ne fait que l’accompagner, il ne décide pas à sa place. Il le questionne et il l’écoute. Il l'encourage à prendre du recul sur ce qu’il vit. Il l’aide à définir ses propres objectifs et à trouver en lui-même les ressources pour les atteindre.
Dans la relation entre le coach et son client, trois points sont essentiels: le coach a confiance dans les capacités de son client, il l’encourage à prendre ses responsabilités et il souhaite sincèrement qu’il devienne autonome.
La tendance aujourd’hui est à l’aplatissement des organigrammes, voire même à la suppression de toute hiérarchie. Pas sûr que tout un chacun soit prêt à fonctionner sans stress dans un tel contexte.
Du coup, une relation de type « coaching » est une réponse adéquate aux besoins actuels. La formation "Coaching Essentiel" (e-learning + quatre sessions en présentiel ou à distance) s'inspire des meilleures pratiques du coaching pour aider les chefs à expérimenter une nouvelle forme d'encadrement et opérer en douceur un changement vers un nouveau management qui s’avérera positif pour toutes les parties.
Exercez-vous aux 5 attitudes du coach qui facilitent la vie et faites-en des habitudes!
Cessez de perdre votre temps dans des entretiens infructueux qui traînent en longueur. Ne jouez plus ni au persécuteur, ni au sauveur, mais écoutez l’autre avec simplicité, respect et authenticité.
Savoir parfois endosser la posture de coach améliore considérablement les relations humaines en général, que ce soit dans la vie familiale ou dans un contexte professionnel.
Voici 5 attitudes du coach à adopter pour vous faciliter la vie:
Attitude no 1 Accompagnez au lieu de donner des ordres !
Que se passe-t-il lorsque vous donnez un ordre ou posez une exigence ? Dans le meilleur des cas vous obtenez une réponse polie et vous aurez la chance d’être obéi. D’autres fois la même réponse polie n’est suivie d’aucun acte. Dans tous les cas, ni le ressenti, ni le besoin d’autonomie de votre subordonné ne sont respectés. A court terme, c’est efficace et rapide. A long terme, c’est scier la branche sur laquelle vous êtes assis.
Le coach considère que chaque personne possède les ressources suffisantes pour avancer, même si elle a momentanément besoin d’une intervention extérieure.
Attitude no 2 Ecoutez en montrant un réel intérêt pour votre interlocuteur !
Combien d’entre nous ne savent pas écouter vraiment ? Nous pensons qu’écouter est une perte de temps. Et souvent c’en est une ! Car en étant centrés sur nos propres préoccupations, nous n’écoutons pas de manière à ce que l’autre se sente compris. Le coach pose les bonnes questions et évite que l’on se perde dans des détails inutiles.
Attitude no 3 Ne jugez pas !
Avouons-le, nous sommes prompts à la réplique : couper la parole, montrer des signes d’impatience ou de contrariété, donner notre avis sans qu’il soit sollicité…
Il est difficile de ne pas évaluer ce qu’on nous dit à travers notre propre vision du monde (rarement la même que celle de notre interlocuteur !). Désapprobation, incompréhension, pitié s’expriment malgré nous par notre non-verbal. Cultivons la bienveillance !
Attitude no 4 Entraînez-vous à prendre du recul !
Autant que nos opinions, nos émotions viennent interférer et nous empêchent de faire une appréciation objective de la situation. La compassion est évidemment nécessaire, mais trop d’empathie ne concourt pas à la recherche d’une solution. Le coach a appris à distinguer les moments où il est bon de manifester de l’empathie et du soutien, et ceux où il est plus indiqué d’aider l’autre à sortir de son état émotionnel.
Attitude no 5 Recadrez l’entretien sur l’objectif !
Un des secrets du coach réside dans la capacité à considérer les problèmes avec suffisamment de hauteur. S’il s’aperçoit que l’entretien dérive pour se perdre dans des chemins de traverse, il connaît les outils pour ramener son interlocuteur à l’essentiel (compétence fort utile pour mener une réunion !). Rappelons la définition : « Le coaching est l’accompagnement d’une personne (ou d’une équipe) dans l’atteinte des objectifs qu’elle s’est fixés. »
L’attitude coaching ne s’invente pas, elle s’apprend et se cultive, mais le résultat en vaut la peine : des relations humaines plus vraies, des entretiens plus efficaces, des collaborateurs plus motivés.
Pour aller plus loin, Moncoach vous propose des ateliers, des conférences et des formations. Demandez à recevoir la newsletter (en déposant simplement vos coordonnées sur la page contact).
L'ennéagramme est riche en enseignement, mais difficile d'accès. Alors est-ce que cela en vaut la peine?
Sympa et rigolo de tenter de se définir par un des profils de personnalité! Avec une connaissance superficielle de "l'outil ennéagramme", on peut passer quelques jolies soirées entre amis en tentant de découvrir dans quel type chacun se reconnaît. Bien entendu, on se trompe souvent, mais qu'importe.
Pour tirer un réel bénéfice de l'ennéagramme, il faut aller plus loin et ce n'est pas si facile. Aller plus loin, par des lectures ou en suivant un stage, c'est se rendre compte de la complexité de l'ennéagramme. Se retrouver un peu dans chaque type. Avoir envie d'être 3 ou 7 parce que les 3 et les 7 semblent ne pas avoir de problèmes dans la vie. Reconnaître en soi les défauts d'un type et ne pas en voir les qualités. Etre réticent à l'idée d'être mis dans une case...
Loin d'être facile d'accès, l'ennéagramme s'apprend par approximations successives, en procédant patiemment à des micro-réorientations de l'image que l'on a de soi. En s'initiant aux descriptifs des autres types, on approfondit par contraste ce qui fait l'essentiel de son propre type.
On apprend à s'observer et à déceler comment nos motivations inconscientes nous manipulent souvent à notre insu.
Aller plus loin, ce n'est effectivement pas si facile. Alors est-ce que cela vaut vraiment la peine?
Après 17 ans de pratique intensive et près de 1000 clients, ma réponse personnelle est clairement "oui", autant sur le plan personnel que sur le plan professionnel.
Sur le plan personnel, l'ennéagramme m’a permis d’évoluer plus vite et plus loin que toutes les autres voies que j'avais déjà explorées. Analyse Transactionnelle, PNL, thérapies cognitives et comportementales, théories de la personnalité, approche systémique, toutes m'ont enrichie d'une manière ou d'une autre. Découvrir mon type, puis approfondir la connaissance de moi-même a en quelque sorte décuplé l'efficacité des autres méthodes.
Sur le plan professionnel, l’ennéagramme m’apporte chaque jour une aide précieuse. Accompagner quelqu'un en coaching en ayant compris sa personnalité permet d'agir de manière plus pointue et infiniment plus efficace. Aider un manager à s'occuper de son équipe en le rendant attentif aux besoins de chacun pour le bien-être de tous. Permettre aux membres d'une famille de se comprendre les uns les autres "de l'intérieur", pour plus de tolérance et de bienveillance.
Pour en savoir plus, lire "A quoi sert l'ennéagramme?" (Marie-Claire Fagioli, Ed. de l'Hèbe, 2007) épuisé, mais disponible en version électronique au prix de 10 CHF. Commandez-le sur la page contact.
Coacher avec l'ennéagramme
7 sessions de groupe, journées non consécutives.
Ennéagramme
Cours privé: deux entretiens d'une heure trente et lecture d'un document détaillé entre les séances.
Ennéagramme
3 sessions en groupe + 2 séances de coaching individuel + 1-2 heures par semaine de travail personnel
Coaching, les bases
6 séances + 15 heures de travail individuel